Parmi les 98 enfants assassinés de 1954 1957
Constantine, 10 août 1956:
Dans la région de Condé-smendou, une forte bande rebelle a attaqué plusieurs mechtas. Des femmes et des enfants ont été massacrés
Bayard, le 30 novembre 1956:
Le jeune Paul Bonthoux est égorgé sous les yeux de son père, lui-même grièvement blessé.
Aïn-témouchent, le 26 octobre 1956:
Dans la commune de Turgot, la famille Derouiche a été attaquée par les hors-la-loi. Miloud, fellah, sa belle-fille Khora, ainsi que la jeune Kheira, 17 ans, ont été tués. Rahmouna, 20 ans, et Djelloul, 3 ans ont été grièvement blessés.
Maison-carrée, le 10 novembre 1956:
Un enfant de 8 ans a été poignardé par un terroriste.
Chefka, le 24 janvier 1957:
Vers 12 : 30, un hors-la-loi assassine à coups de pioche le jeune G. Pommier, âgé de 17 ans.
Aïn-bessem, 13 juin 1956:
Kechout Sa?d, âgé de 12 ans, est assassiné par les rebelles.
Aïn-beida, le 3 mai 1956:
Attirés dans un guet-apens, par un de leurs camarades musulmans, trois écoliers européens : Jean-Paul Morio, Jean Romain Almeras et Gilbert Bousquet sont enlevés, battus et lapidés, puis égorgés par les rebelles au douar Oulma. Les corps des trois enfants sont découverts dans un puits le 23 juin 1956.
De 1954 à 1957
Djidjelli, le 21 avril 1956:
Une femme musulmane, Benamera Messaouda, âgée de 24 ans, est violentée, puis mutilée par les rebelles FLN.
Tolga, le 27 juillet 1956:
Deux femmes françaises musulmanes enlevées à leur domicile par une bande rebelle, sont retrouvées égorgées.
Oran, le 28 Août 1956:
Une bande rebelle a fait irruption au cours de la nuit dans une mechta du douar Tafaraoui. Deux cultivateurs musulmans et leur vieille mère sont égorgés.
Sidi-bel-abbès, le 15 d?cembre 1956:
La femme et la fille d'un cheminot européen sont massacrées à coups de hache.
Relizane, le 4 janvier 1957:
Trois femmes et un enfant sont massacrés dans l'attaque de la "micheline" Oran -Relizane. Deux autres femmes ont disparu.
Tenès, le 13 mars 1957:
Au cours de la nuit du 12 au 13 mars, une bande rebelle a attaqué la ferme Grive, située à Pointe-rouge. Les occupants de la ferme, Mme Grive, âgée de 76 ans, et ses deux fils ont été mutilés et égorgés.
Picard, le 20 mars 1957:
A 3 km de Picard, un groupe rebelle égorge la famille Makboul. Parmi les victimes figurent Boumehdi Yamina, âgée de 35 ans, qui était enceinte, et son fils Djilali, âgé de 9 ans.
Isserville-les-issers, le 10 avril 1957:
Mme Roma, épouse du gérant de la ferme Chartier, est tuée d'une rafale de mitraillette.
Camp-du-maréchal, le15 mai 1957: Une garde -barrière française -musulmane a été tuée par coups de feu.
Batna, le 17 mai 1957:
Vers 13:30, plusieurs rebelles, armés de pistolets et couteaux, font irruption dans la demeure de la famille Amrane, cité Chikhi. Fatma, âgée de 39 ans, est tuée à coups de feu sur son lit; Khadra, sa fille âgée de 17 ans, domestique, est tuée à coups de couteau; Kheira, âgée de 13 ans, est atteinte au bras gauche et hospitalisée;
Zohra, 9 ans, écolière, atteinte à l'abdomen meurt à l'hôpital.
Assassinats et tortures de militaires :
Le 15 mars 1957, à 21 heures la radio dite de "L'Algérie libre et
combattante" s'exprimant en arabe déclare par la voix d'un journaliste arabe :
"Ce que j'ai pu constater, lors de mon séjour dans les régions que j'ai visitées, est que les soldats de l'ALN respectent scrupuleusement leslois de la guerre."
Dans une autre émission, le 2 avril 1957, à 21 heures :
"Près de Bône, une voiture des soldats de l'ennemi "puant" est tombée dans une embuscade tendue par les combattants. Tous les occupants du véhicule furent tués comme des Juifs."
Voici avec quels "scrupules" les rebelles respectaient les lois de la guerre, ce que les rebelles entendaient par "tuer comme des Juifs"
Après un accrochage, sur les morts il est fait les constatations suivantes:
Tous ont été mutilés, à l'aide d'instruments tranchants (poignards, serpes);
deux d'entre eux ont les parties sexuelles coupées, cinq ont le crâne ouvert et
la tête vidée de toutes matières cérébrales. Plusieurs ont la gorge tranchée. Six cadavres portent d'énormes traces de brûlure sur l'abdomen.
El Hadj beau-frère du Bachaga Boualam, capturé par le FLN, fut arrosé d'essence et brûlé vif.
Deux autres beaux-frères devaient mourir également sous les couteaux des égorgeurs du F.L.N.
Le 28 janvier 1958 Abdelkader fils de Boualam, le beau-frère et trois harkis devaient tomber dans une embuscade tendue par des fellaghas sur la route.
Taouira le 26 JUILLET 1956 :
le frère du Bachaga Alexandre fut assassiné chez lui par un groupe F.L.N dirigé par Serafini influent membre du parti communiste. Devant la famille horrifiée il reçut d'abord une décharge de chevrotine dans le bas-ventre puis était atteint à la tête de plusieurs balles de pistolet et fini au couteau.
Un fils, dix-sept parents très proches. quinze parents éloignés sont morts pour la France. écrit le Bachaga Boualam dans son livre "MON PAYS LA FRANCE" LIVRE PRECIEUSEMENT GARDE POUR SERVIR DE PIECE A CONVICTION.
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FRANCHETTI : 1958/59:
Le garde-champêtre européen, de la commune de Cherrier est égorgé sur la place du marché par un terroriste du FLN qui disparaît dans la foule.
FRANCHETTI : 1958/59:
Une grenade est lancée dans le seul bar du village par un terroriste du FLN. On déplore de nombreux blessés marqués à vie. L'un d'eux deviendra fou.
FRANCHETTI : 1958/59
Trois membre de la famille EPPLIN fermiers, sont égorgés et sauvagement mutilés par une bande de fellaghas du FLN.
FRANCHETTI : 1958/59:
Découverte d'un charnier dans une matmora non loin d'un douar. Plusieurs cadavres sont retirés. L'identification s'avèrera impossible vu leur état de décomposition avancée. Ils ont eu tous la gorge tranchée et avaient les poignées et les pieds attachés avec du fil de fer.
FRANCHETTI : - 1958/59:
Un jeune homme de 13 ans, fils de la famille GIL, travaillant à défricher une petite parcelle de terre à un vingtaine de mètres de la maison à la sortie du village, est sauvagement égorgé. L'auteur n'est autre qu'un jeune arabe de 15 ans frère de lait de la victime. Il avait été élevé comme un fils depuis qu'il avait été abandonné et recueilli par
cette famille. Voulant rejoindre les bandes d'assassins qui sévissaient dans les parages il devait pour ce faire égorger un " roumi " pour y être accepté. Il n'avait pas trouvé mieux que d'égorger son demi-frère. La race des lâches se manifestait déjà en lui. Il fut tué quelque temps plus tard au cours d'un accrochage avec l'Armée Française que les bons Français de salon se plaisent à dénigrer aujourd'hui. Le drame dans cette affaire c'est que la maman de la victime est arrivée avant les gendarmes. Elle tenait son enfant dans ses bras essayant de recoller la tête qui pendait. Un tableau que je ne souhaite à personne de voir. Sauf biensur aux assassins et à ces salops
qui les défendent dont je me réjouirais qu'ils aient un jour à tenir l'un de leurs progénitures dans les mêmes circonstances.
FRANCHETTI : - 1958/59:
Sur la route de Saida, un cadavre est découvert. Il s'agit d'un Français-musulman. Il était venu la veille déposer une plainte à la Gendarmerie pour une banale affaire de famille. Il a été égorgé par les fellaghas parce que ceux-ci croyaient qu'il avait fourni des renseignements. Le pauvre homme avait encore le couscous qui sortait de la gorge béante. Il avait les testicules et la verge coupés et cousus dans la bouche avec du fil de fer. Il avait reçu une bonne dizaine de coups de sabre.
FRANCHETTI : 1958/59:
Sur la même route à la limite de la commune de Nazaret-Flinois, le corps d'une jeune femme Française-musulmane est découvert pourrissant au soleil depuis quelques jours. Elle avait été violée et gorgée par une bande de fellaghas du FLN qui se cachaient dans la région. La région était propice à ce genre d'actes.
Heureusement les commandos Bigeard et Georges réussirent à nettoyer la région de ces assassins. Les bons Français de salon, les historiens véreux, le journal Le Monde, l'Humanité, observaient le plus grand silence sur ces exactions. Comme de nos jours ils dénigrent notre Armée. En dénigrant notre Armée ils salissent la France, leur patrie mais non seulement ils la dénigrent mais ils l'abaissent d'une façon ignoble. Des gens de ce type devraient prendre, avec femmes et enfants, des vacances longue-durée en Algérie et aux pays où l'islam est roi. Tiens ils devraient aussi faire ami-ami avec les braves albanais musulmans qui envahissent impunément la Yougoslavie et pour se persuader du bien fondé de leur connerie au pays des TALIBANS.
BENI-SAF : - 1954/1962:
Rue de la république, une grenade est lancée dans un bar, de nombreuses victimes innocentes sont mutilées certaines ne se remettront jamais de leurs blessures.
BENI-SAF : - 1954/1962:
M.Riquéna notre boulanger, un brave homme, se rend avec sa juvaquatre dans sa petite ferme merdique d'exploiteur où rien ne pousse. Il est arrêté au lieu dit " La fuenté " une centaine de mètres avant d'arriver, par un groupe de fellaghas du FLN, puis sauvagement gorgé.
BENI-SAF : - 1954/1962:
Mr.Santiago le vendeur d'oublis qui s'entendait venir de loin avec ses castagnettes et qui faisait la joie des enfants, toutes ethnies confondues, est égorgé aussi sauvagement que les autres victimes.
BENI-SAF : - 1954/1962:
Tous les membres européens de l'équipage du Marc-Eric sont égorgés, mutilés et jetés par dessus bord. Les auteurs, 3 musulmans de Béni-Saf, sont connus par la population et en particulier par les pêcheurs. Ils avaient égorgé d'abord le patron pêcheur, qui se tenait confiant à la barre. L'équipage dormaient dans les couchettes du bas lorsqu'ils ont été surpris et égorgés à leur tour. Le mousse 15/16 ans, Aldeguer,Joseph, est enchaîné à l'ancre de marine et jeté par le fond. Il n'a jamais été retrouvé malgré les recherches entreprises par tous les marins-pêcheurs de la ville. Les lâches assassins sont gardés en Espagne et libérés à l'indépendance. Vive De Gaulle.
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