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PLAINTE CONTRE L'ETAT ALGERIEN

Partie 4

Sur la même page je lis :

MEME LES ENFANTS

C'est ainsi que le 3 mai 1956, trois écoliers européens d'Ain-Beida sont attirés dans un guet-apens par un de leurs petits camarades de classe musulman ; les corps des enfants, martyrisés, lapidés et massacrés, furent retrouvés dans un puits le 23 juin 1956.

Plusieurs faits du même genre ont été signalés tout au long de la «guerre».On a vu un enfant musulman poignarder dans la cour de récréation le petit européen avec lequel il allait tous les jours à l'école.

Mais il faut être optimiste et espérer que de tels faits ne se renouvelleront plus jamais, même à l'appel des ayatollahs dévoyés qui prêchent la guerre sainte. Et surtout pas sur le sol de France, qui accueille fraternellement tant de petits arabes sur les mêmes bancs que les petits français, puisqu'on sait qu'en 1985, dans certaines classes, les enfants arabes sont plus nombreux que les enfants français.

Dans leurs menaces comme dans leur exécution, les terroristes sont aussi des tortionnaires sadiques qui n'épargnent pas les enfants. Les taches de sang sur là robe de cette petite fille de 7 ans expliquent ses blessures. P.23 - 24 de l'opuscule cité plus haut.

 

 

 



Vous ne pouvez,  pour des raisons politiques ou autres, restez insensibles à de tels actes de barbaries lesquels, parce que des hommes peu consciencieux de leur devoir, ferment les yeux et permettent qu'ils continuent de se perpétuer dans ce monde déjà trop pourri.

 --=o=--

 

Les plus hautes instances de l’État nous faisaient croire que nous nous battions pour défendre une partie du Territoire NATIONAL menacée, alors que tout ceci était totalement faux puisqu’elles traitaient en secret avec l’ennemi.

"L'avis de Jean-François REVEL,  Académicien, sur la trahison gaulliste: "Désastreuse, haineuse, odieuse" écrit entre autre :

C'est là qu'il faut lire la version «Français d'Algérie» de la guerre d'Algérie. Moi-même, persuadé depuis le début de l'insurrection que l'indépendance était inévitable, très attentif aux « événements» durant tout leur déroulement, j'ignorais à quel point de Gaulle avait, dès 1960, choisi le FLN contre les pieds-noirs. La police française allait jusqu'à désigner certains Français aux coups assassins des fellaghas. Et, en 1962, les pseudo-accords d'Évian ont livré les Français à la vindicte du FLN, sans poser la moindre condition quant à leur sécurité et à la sauvegarde de leurs biens.

On le savait déjà un peu, mais le récit de Rossfelder rend cet abandon encore plus accablant que ce qu'on en savait.

On peut à juste titre reprocher, comme je l'avais fait souvent depuis mon séjour à Tlemcen en 1947-1948, aux Français d'Algérie leur manque de clairvoyance, leur refus d'admettre que le changement était inéluctable. Reste qu'ils étaient nos concitoyens et que de Gaulle, malgré sa réputation injustifiée d'habileté, n'a finalement réglé leur problème que de la façon la plus désastreuse, la plus haineuse et la plus odieuse.

En cas de doutes sur les écrits ci-dessus, des attachements de toutes les copies des documents authentiques, peuvent vous être adressés sur demande par :

Guy ROLLAND
1, rue Jules Vallès,
31240-SAINT-JEAN 61 74 57 22

-Document - FLN Avis de JF Revel - Trahison gaulliste désastreuse-haineuse-odieuse

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La guerre, puisque c'est le nom de baptême de ces évènements, pouvait être écourtée depuis que des chefs et non des moindres décidèrent sous la pression des combats et à l’appel des braves lancé par le Général De Gaulle, de "cesser le combat" et de se rendre sans condition.

Il s’agissait de l’Affaire Si Salah dont vous trouverez tous les détails dans :

-Document-FLN - Affaire Si Salah - Annexe III Challe notre Révolte

De Gaulle, en refusant cette reddition et en traitant avec le FLN, prenait la responsabilité de prolonger une guerre qui n’avait plus lieu d’être. Cette erreur fut le prélude à un génocide qui fit de milliers et de milliers de victimes comme vous allez le constater tout au long de la lecture de ma plainte.

--=o=--

Page 34 de TORTURE? ils ont dit TORTURE! , on peut lire sous le titre :

LES TORTIONNAIRES AU POUVOIR,

Comme on vient de la voir, les populations musulmanes ont donc payé un lourd tribut à la « guerre sainte » anti-française. Mais ce n'était encore rien par rapport aux boucheries de la « libération » de 1962, que le Daily Telegraph pressentait dès le 3 juin 1957 :

« Quel espoir subsiste-t-il de ne pas voir la route de la « libération » déjà pavée d'os musulmans se terminer dans un bain de sang musulman ? »

Harkis poussés et déchiquetés sur les champs de mines, horribles tortures et lentes agonies, se chiffrent par centaines de milliers. Bernard Moinet a publié sur ce sujet les résultats d'une enquête de plusieurs années, dans un livre intitulé « Ahmed, connais pas » (1), soigneusement étouffé par les grandes consciences spécialisées dans la diffamation de l'occident, les pétitionnaires professionnels de toutes les campagnes marxistes et autres agents « français » du FLN.

On va comprendre pourquoi : « 16 août 1962 ...A 5 heures du matin, tous les prisonniers (2) ont été réveillés et répartis par catégories.

Dès 6 heures, les premiers cris montent des lieux de torture. A partir de 7 heures, la population est invitée à assister à ces nouveaux jeux du cirque.

Des dizaines de harkis hurlent, maintenant, à la mort.

(1) Editions « Lettres du Monde -, 142, rue du Faubourg St-Antoine, 75012 Paris.

(2) Des harkis arrêtés par le FLN après l'indépendance.

--=o=--

P.36 : Laïchi Salah, ancien sergent à la CCAS (1) a subi, lui aussi, les brûlures et les déchirures de la magnéto. Mais on l'a changé ensuite d'atelier. On a commencé à dépecer le corps électrocuté, et mentalement détruit, vers 11 heures. A midi, un bras et une jambe ont été coupés. On l'achèvera après l'heure du déjeuner.

Il en sera de même pour Boviti Tahar, de même pour Rabah ben Ahmed, de même pour Alouani Saïd, de même pour Chenoufi Abdelkader, de même encore pour une dizaine d'autres.

A la même heure monte l'acre et insupportable odeur de l'essence enflammée et des chairs brûlées. On a été récupérer les derniers stocks de carburant abandonnés par le 2e Spahis, et le grand brasier a été enflammé, dès le matin. Un à un, on a précipité les harkis dans la fournaise, chacun à l'appel de son nom, les autres assistant à l'effrayante torture et attendant leur tour, nus, silencieux, tremblants. On en est au quinzième supplicié.

Mais les ultimes finesses, les plus subtiles recherches sont réservées au groupe n° 2, pour lequel libre cours a été laissé à l'imagination des opérants.

C'est vers ce groupe-là que les trois commissaires politiques font converger le maximum de spectateurs de tous âges. Et c'est là que l'horreur dépasse véritablement l'imagination.

Une dizaine, parmi lesquels Moussa Mahfoud et Moussa Amar, ont déjà eu des tiges de fer, rougies au feu, enfoncées dans le visage. Ils paraissent morts, mais ne le sont pas. Leurs yeux sont grands ouverts, fixes, immobiles. Sans doute ne sentent-ils plus la douleur et n'entendent-ils qu'à peine les bruits et les cris environnants.

Le sergent Djemal Borouis, de la SAS de Rivet, a eu les doigts des pieds et des mains coupés, un à un. Il lui en restait encore trois, un au pied gauche et deux à la main droite, lorsqu'ils décidèrent de l'égorger. Puis on lui a coupé la verge et les testicules et on les lui a enfoncés dans la bouche. Il est là, corps magnifique de vingt-sept printemps, et pourtant déjà cadavre puant, parmi les autres corps, encore haletants, de ceux qui n'ont pas basculé vers l'au-delà. Ils le feront ce soir, ou cette nuit.

Le harki Tahar, du 117e RI, vient également d'être égorgé, mais après avoir été dépecé par lambeaux de chair sur les bras et les jambes.

(1) Compagnie de commandement et de soutien.

P.38

Il est 13 h 30. Ils sont en train de décapiter Djelloui, qui a été transféré, il y a quelques jours, du camp de Bensala, dans l'oued El Alleug. On va faire cela selon les règles, par coups de rasoir successifs, et par fines entailles d'un millimètre à peine. A chaque incision, Djelloul lance, vers le ciel, un râle profond, mais surtout un appel.

Il le sait, des milliers d'appels semblables montent vers le ciel d'Algérie, depuis des semaines. Quelqu'un les entendra-t-il ?

Ou personne, jamais personne n'y répondra-t-il ?

Pour Ournader Abdelkader, on a trouvé autre chose : on le décortique à la tenaille. Travail d'artiste, ou pour le moins d'artisan. Le fellagha s'applique, et vient de délaisser la jambe droite, pour s'en prendre au ventre. Les premiers lambeaux de peau brune sont arrachés. Le buste de Ournader, presque intact encore, vibre intensément à chaque atteinte. Il tire, en vain, sur ses bras et ses jambes, attachés à quatre énormes piquets fichés dans le sol.

Le même supplice a été infligé, depuis le matin, à son père : Ournader Hocine. Mutilé de guerre (Italie-France-Allemagne), officier de la Légion d'honneur, conseiller municipal. Plus âgé, Hocine a rendu l'âme vers 11 heures.

Puis on a été  chercher la famille de Lagha Salah. Toute sa famille : sa mère, sa femme, ses enfants. Et devant ses proches rassemblés, ils ont assassiné Lagha à coups de pioche.

D'abord sur les membres, puis en bordure du thorax, enfin autour du visage, en l'effleurant à peine (à l'exception de quelques coups malheureux et maladroits, bien sûr, qui ont laissé de larges plaies au menton et à la joue droite).
 

Le coup de grâce sera donné à la tête, puis au cœur, dans la soirée, vers 21 heures. La famille, debout, a dû assister à toute la scène, sans broncher. L'auteur de ces abominations est connu: il s'appelle «Le commandant Mokhtar».

--=o=--

Ces mutilations n'ont pas été exécutées sur des cadavres, mais sur des victimes conscientes dont la souffrance se passe de commentaires.

Un sadisme proprement révoltant  si particulier aux crimes commis à l'arme blanche. Hier c'étaient ces malheureux qui aimaient la France... Aujourd'hui ce sont des postières ou d'humbles retraitées.

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Et comme si de rien n'était le massacre continue aujourd'hui. Pourquoi?

--=o=--

Au mois de juin de cette année 1957, sous le titre "Aspects véritables de la rébellion algérienne" le ministère de l'Algérie publie un livre blanc sur le terrorisme fellagha.

C'est un ouvrage effrayant. Il présente une série de documents du FLN ou de l'ALN sur les actions à mener dans la guerre révolutionnaire.

 

 

Une centaine d'horribles et insoutenables photos illustrent les dites actions et font l'étal de cette boucherie humaine ; les victimes des rebelles sont des civils européens ou musulmans, hommes, femmes ou enfants.

 

 






Quels documents faudrait-il vous présenter pour que ma plainte soit prise en considération? Peut être ces photos vous convaincront-elles ?

 

 

 

                                              







Ou alors la photo ci-dessus, de la page 151 de l’ouvrage du Ministère, qui nous montre que ses sauvages s’en prenaient même aux animaux ?

 






Cet ouvrage a quand même bien été rédigé et publié par un Ministère du Gouvernement français? Que vous faut-il comme preuves plus officielles?

--=o=--

[Partie 5]

 


 
- Comite Veritas
- Alger 26 Mars 1962
- Ravin Rouge - Le Film
- le site des Bônois
- Pied-Noirs Aujourd'hui
- Association-Mostaganem
- Armand-Belvisi
- Bivouac-Legion.com
- Jean-Paul Gavino
- Le site du Clos-Salembier
- Mauvaise Graine
- Les Souffrances Secrètes
- Tenes Algerie
- Annuaire web africain
- http://mascara.p-rubira.com
- ADIMAD
- Site de Jaques Vassieux
- http://www.enfant-du-soleil.com
- Cercle algérianiste de Montpellier
- Pointe Pescade
- Jean-Pax Meffret
- Les tournants Rovigo
- l'Echo-Chons Patriotes
- Jocelyne Mas
- Coalition Harkis
- Le coin du popodoran
- http://oran1962.free.fr
- MIGDAL
- Ass. victimes du 26 Mars 1962
- Les Raisons de la colère
- Alger-Roi.fr
- Croisitour
- Dessins de Konk
- Secours de France
- Oran Cite des Jardins
- Pied noir,rapatrié

- http://coordination.cnfa.free.fr
- http://www.harkis.info
- http://www.salan.asso.fr


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