Page Précédente
 
Translate
 
Menu des Plaintes
Cimetière
Forums
 
De Gaulle
 
 

Les preuves de la trahison du P.C.F.


Mémoire de la France d'Outre-Mer
30,32 Bd SEABASTOPOL à
75004 PARIS
Philippe NOUVION
tél 0142780741

FRANCEMEMOIRE@wanadoo.fr


Documents fournis par JP Rondeau & J.Torres.

---==oOo==---

Mesdames, Messieurs les Députés Communistes,

Nous nous permettons, à votre attention, un rappel historique concernant la complicité, de 1954 à 1962 en Algérie, entre votre parti et le terrorisme de sang F.L.N, :

Aspirant MAILLOT,

Membre du Parti Communiste Français

Cet officier déserte avec un camion d'armes et de munitions qu'il mettra à la disposition de la rébellion.
Ces armes se retourneront bien évidemment contre les populations civiles et les appelés du contingent.
Traqué, débusqué dans un maquis F.L.N., il fut châtié.
contre les

Daniel TIMSIT,

Membre du Parti Communiste Français.
Professeur de chimie à la faculté d'Alger, il fut l'artificier du F.L.N. (détonateurs) dans la fabrication des bombes qui allaient semer la terreur dans les lieux publics d'Alger, tuant et mutilant des centaines de personnes, dont des femmes et des enfants.

YVETON

Membre du Parti Communiste Français.

Employé à l’E.G.A, (Electricité et Gaz d'Algérie), il plaça
une bombe dans les locaux de l'usine à gaz d'Alger avec
toutes les conséquences que cela pouvait entraîner pour ses
compagnons de travail et les quartiers environnants.
Il fut arrêté, condamné et guillotiné.

Daniel MINNE

Membre du Parti Communiste Français

Elle fut la poseuse de bombe au bar « I’Automatic »
entraînant dans la mort une étudiante et blessant 25 de ses camarades.

Elle rejoint un maquis F.L.N, pour échapper à son arrestation.
Lors d'un combat, elle est faite prisonnière.
Condamnée, elle fut amnistiée en 1962.

---==oOo==---

Nous dénonçons les trop nombreux militants de votre parti qui ont aidé activement le F.L.N. dans sa propagande, sa stratégie et son action qui débouchèrent sur les meurtres et les massacres que l’on sait.

http://www.algerie-francaise.org/english/

---==oOo==---

Mesdames, Messieurs les Députés,

Nous nous permettons, à votre attention, un rappel historique concernant la complicité, de 1954 à 1962 en Algérie, entre votre parti et le terrorisme de sang F.L.N, :

EXTRAITS:

Le Parti communiste algérien est issu du Parti communiste français (PCF), qui en 1924 crée en Algérie une Section ne comprenant que des militants européens. En 1935, cette Section se transforme en organisation distincte, le Parti communiste algérien fonctionnant sous la tutelle du PCF. Son organe officiel de presse sera jusqu'au 12 septembre 1955 l'hebdomadaire «Liberté». Relayé ensuite par l'intermédiaire du «Travailleur algérien» de l'UGSA, ex-CGT, (qui fera l'objet d'un arrêté d'interdiction le 24 mai 1956), le quotidien algérois communisant, «Alger Républicain», participe à la propagande en faveur des rebelles jusqu'en septembre 1956.

Avant le 1er novembre 1954, toutes les tentatives des dirigeants du PCA pour réaliser l'unité d'action avec les nationalistes échoueront.

Apres te 1er novembre, le PCA s'efforce de créer le maximum d’agitation par l’intermédiaire de la CGT, et engage les dockers à refuser de décharger le matériel de guerre en Algérie (Benoit-Frachon se rend en Algérie pour assurer les nationalistes de l'appui de la CGT et de la FSM).

Participation à la lutte armée

Le PCA, qui a pris position dès 1952 pour l'indépendance algérienne, hésite tout d'abord à s'engager André Moine et Camille Larribère estiment prématurée l'entrée dans la lutte armée.

Certains dirigeants ont cependant pris des contacts avec le FLN. ainsi Mohamed Guerrouf avec Ben Boulaid Mostepha, responsable de l'Aurès. Le Secrétaire du PCA. Paul Caballero, organise alors une aide logistique des rebelles par le canal du Secours populaire algérien (SPA).

Il faut attendre le 13 mai et le 20 juin 1955 pour que le Bureau politique et le Comité central décident la participation à la lutte, initialement sous la forme des CDL (Combattants de la Libération) formés dans les grandes villes. Des attentats individuels sont perpétrés à Alger, Oran, Constantine et Blida. D'autres militants rallient les maquis FLN dans l'Aurès et le Tlemcenois.

L'Implantation d'un maquis communiste présente des difficultés en matière de soutien logistique, d'armement, de connaissance du terrain, et en raison de l'opposition prévisible des bandes de l'ALN. La région du Chéliff, carrefour entre Alger et Oran, paraît la plus favorable, du fait de l'absence de bandes du FLN et de l'existence de cellules communistes dans le bled et à Duperré, ville connue comme «la petite Moscou».

La désertion de l'aspirant Maillot

L'initiative de l'aspirant Maillot va permettre de résoudre le problème de l'armement. Henri Maillot était un employé du journal Alger-républicain, notoire militant communiste comme son père. Il ne dissimulait pas ses convictions politiques et s'était rendu au Congrès des Jeunesses communistes de Budapest. Un mois après que le PCA eût été frappé de dissolution pour menées subversives, il était rappelé sous les drapeaux en octobre 1955 au 57ème Bataillon de Tirailleurs à Miliana.

Apprécié à son journal comme «un camarade d'une intégrité morale absolue», en fait il cachait son jeu. Interrogé par son chef de bataillon, il avait affirmé qu'il ne s'était jamais rendu à Budapest et qu'il avait quitté la CGT en 1950-1951. Il avait même signé une déclaration sur l'honneur attestant sa non-appartenance au PC. Une fiche de renseignements de la Sécurité militaire aurait dû lui interdire toute mission de confiance. Ainsi son intégrité morale était-elle réservée à son Parti.

En avril 1956. son bataillon se transformait en 504ème Train, nécessitant la restitution des armes excédentaires à l'ERM d'Alger, mission imprudemment confiée à Maillot. Celui-ci, dans le secret le plus absolu, s'entendait avec le chef du PCA, le docteur Hadjeres à Alger, pour lui livrer tout son chargement. Profitant d'une grave négligence de l'ERM. il amenait son camion le 4 avril 1956 dans La forêt de Bainem, où l'attendait un comité d'accueil de trois militants. Après avoir neutralisé Le chauffeur du camion, retrouvé ligoté, les quatre hommes chargeaient les armes dans une camionnette et rejoignaient Alger, où les armes étaient entreposées dans une villa d'Alger-Plage.

L'affaire eut un grand retentissement, d'autant plus qu'elle s'accompagnait d'un vol massif d'armement : 74 revolvers, 10 PA. 120 PM Sten, 1 PM Thomson, 53 fusils Lebel, 4 fusils Mas, 1 fusil US 17, et des munitions.

Maillot se réfugia ensuite à Alger, fut hébergé une nuit au presbytère de Saint-Joseph (Bab el Oued) par l'abbé Scotto, qui le mit à la porte quand il l'identifia, mais l'envoya quelques jours au presbytère d'El Biar, aux bons soins de l'abbé Desrousseau.

Un communiqué des «Combattants de la Libération» annonce alors que l'aspirant Maillot est passé aux forces de la Résistance. Dans des lettres adressées à la Presse, l'ex-aspirant exhorte les jeunes appelés à déserter.

Le Maquis rouge

Constitué initialement par Abdelkader Babou, Mohamed Boualem et Mustapha Saadoun, le maquis s'installe d'abord dans une grotte des Béni Boudouane. et reçoit, grâce à la complicité de l'institutrice Marylise Ben Haïm, Le renfort du sous-lieutenant déserteur Abdelhamid Guerab, de l'exalté Maurice Laban (de Biskra, ancien des Brigades internationales) et le 7 mai d'Henri Maillot. Leur effectif ne dépassa jamais huit hommes- Armés initialement de 4 vieilles armes de poing, ils tuent un des chefs de
village des Béni Boudouane, fief du bachaga Boualem. Echappant à un ratissage, ils franchissent le Chéliff et se réfugient dans une ferme du douar Medjadja»

Ayant reçu 20 armes du lot volé, ils font une expédition punitive dans les Béni
Rached où ils assassinent quatre «traîtres», ils commettent alors l'erreur de revenir dans les Béni Boudouane, où un cavalier prévient le bachaga, tandis que les habitants capturent leur ravitailleur et le livrent au capitaine Conill, chef de SAS.

Maillot et Laban sont tués le 5 juin dans l'opération qui est rapidement montée par Conill, avec la participation de la 2ème compagnie du 504ème BT à laquelle appartenait Maillot,

Guerab et Boualem réussissent à s'enfuir, ils seront arrêtés début septembre. Saadoune rejoint Oussedik ; il deviendra adjoint politique de Si Bagbdadi, le chef de la future zone 2 de la wilaya 4.

Après l'affaire, le PCF se démarqua du PCA, mais le député Ramette déclara en novembre que Maillot a accompli son devoir de patriote algérien».

Pour Henri Alleg, cette héroïque aventure « menée par des personnages exceptionnels, fidèles à leur idéal» est une épopée qui ne doit pas être oubliée. La trahison en effet ne s'oublie pas, Allah, n'aime ni le traître ni le criminel (Sourate IV, 107).

---==oOo==---


 
- Comite Veritas
- Alger 26 Mars 1962
- Ravin Rouge - Le Film
- le site des Bônois
- Pied-Noirs Aujourd'hui
- Association-Mostaganem
- Armand-Belvisi
- Bivouac-Legion.com
- Jean-Paul Gavino
- Le site du Clos-Salembier
- Mauvaise Graine
- Les Souffrances Secrètes
- Tenes Algerie
- Annuaire web africain
- http://mascara.p-rubira.com
- ADIMAD
- Site de Jaques Vassieux
- http://www.enfant-du-soleil.com
- Cercle algérianiste de Montpellier
- Pointe Pescade
- Jean-Pax Meffret
- Les tournants Rovigo
- l'Echo-Chons Patriotes
- Jocelyne Mas
- Coalition Harkis
- Le coin du popodoran
- http://oran1962.free.fr
- MIGDAL
- Ass. victimes du 26 Mars 1962
- Les Raisons de la colère
- Alger-Roi.fr
- Croisitour
- Dessins de Konk
- Secours de France
- Oran Cite des Jardins
- Pied noir,rapatrié

- http://coordination.cnfa.free.fr
- http://www.harkis.info
- http://www.salan.asso.fr


Copyright © 2000 - 2015 Algérie-Francaise.Org
All rights reserved. Tous droits réservés. Reproduction interdite sans la permission écrite de l'auteur.