LE PÉRIL
ISLAMIQUE
Par José
CASTANO-1er octobre 1986-
Chapitre "L'ISLAM et LE CHISTIANISME"
pages 23 à 28-
Recueilli par DDD
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Cependant on ne saurait demeurer indifférent
à cette extraordinaire somme de contradictions, incluses dans le Coran, et sur
lesquelles se sont usées au cours des siècles les forces de tous les
théologiens obsédés par le chimérique espoir de réconcilier un jour les
trois religions monothéistes. Ainsi est-on choqué par les tolérances du
Coran sur certains points et par son paradis voluptueux.
La loi de Jésus est généreuse ; elle ordonne
le pardon, l'oubli de soi, le sacrifice,
tandis que la loi de Mahomet prescrit le talion dans la vie
sociale, et néglige les commandements suprêmes : "Tu
travailleras : TU NE TUERAS POINT."
Or, le verset de la condamnation indique
clairement que :
"Les chrétiens, les juifs et les idolâtres seront jetés dans les
brasiers. Ils sont les plus pervers des hommes".
De plus, il n'est pas bien loin le temps où,
un père furieux honteux de la naissance chez lui d'une fille, l'enterait
vivante ou qu'un mari tenait à l'attache un troupeau d’esclaves dont il
usait à sa fantaisie, sans retenue légale ou morale. (A
la mort de sa première épouse, le Prophète Mahomet - lui-même ! - épousa
dix autres femmes et eut de nombreuses autres concubines.)
Par conséquent, rien ne révolte plus un chrétien que cet état dépendant
que l'Islam impose à la femme, que ces préjugés, ces erreurs accumulées,
ces hypocrisies sans bornes qui dominent la vie de cette race. Il y a là une
tare ancestrale dans le comportement barbare de bon nombre de musulmans.
Pour expliquer la barbarie de ce peuple, on a
dit qu'il y avait une relation entre la force physique de l'individu,
"vif et dur à la peine, ne mourant que de vieillesse" et son
état intellectuel beaucoup moins avancé. Il ne semble pas nécessaire de
faire intervenir l'hypothèse d'une infériorité originelle raciale,
l'explication la plus plausible et la plus simple étant que des millénaires
de barbarie ne peuvent pas manquer d'avoir modelé les races et que, perdues
dans cet univers de la terreur, elles se sont exterminées tout au long des
temps historiques comme des fauves au fond d'une fosse.
Il semblerait en premier
ressort que cette barbarie soit due au fanatisme religieux qui hante l'âme de
chaque musulman. Ainsi, tous les chefs qui se sont succédés à la tête des
expéditions guerrières ont toujours affirmé qu'ils étaient inspirés par Allah,
et pour fanatiser leurs hommes, il leur suffisait tout simplement de prêcher
la guerre sainte...
Dans la majorité des Etats musulmans où
vivent encore des chrétiens, derniers rescapés des massacres et
déportations organisés par les envahisseurs arabomusulmans, ces peuples ont
été réduits à l'état de « Dhimmis » ,
c'est-à-dire de citoyens de seconde zone , totalement soumis à la
volonté et aux exactions arbitraires de leurs "protecteurs"
musulmans. Cet état de véritable
esclavage n'est rien moins que celui que l'Islam
entend imposer aujourd'hui au peuple chrétien du Liban, de même qu'à
tous les peuples d'Occident qui refuseraient de s'islamiser.
Pour l'Islam, en effet, le monde n'est divisé
qu'en deux territoires : le territoire de l'Islam .("dar
el-islam") et le territoire de la
guerre ("dar el-harb"),
c'est-à-dire le territoire non musulman, où la guerre doit être portée.
Les intentions de l'Islam, de tout l'Islam, sont claires : l'ordre
islamique doit régner partout par le Djihad, la guerre "sainte".
Tous les jours les déclarations de responsables musulmans le confirment.
Historiquement, aux peuples non musulmans
asservis par l'Islam, l'Etat islamique impose le statut humiliant de la "dhimmitude".
Il sera interdit à ces citoyens, par exemple, d'occuper des fonctions leur
conférant une quelconque autorité sur les musulmans : de lever la main sur
un musulman, fût-il un agresseur attentant injustement à leur vie ; de
pratiquer leur culte religieux publiquement, etc… autant de principes qui
professent la "tolérance" de l'Islam.
Toujours selon le Coran, les "dhimmis"
devront vivre séparés des musulmans ; avoir des maisons plus basses que
celles des musulmans ; enterrer
leurs morts en courant , se différencier des musulmans par
l'aspect extérieur, se hâter dans les rues en passant à la gauche des
musulmans ; accepter les insultes sans répondre ; céder les meilleures
places, postes de travail et fonctions aux musulmans ; ne parler en leur
présence que pour leur répondre, etc.
Ces vexations, qui semblent sorties d'un autre
âge, sont pourtant toujours en vigueur dans nombre de pays ou régions du
Moyen-Orient et d'Afrique où l'Islam règne en maître. Seule une
résistance acharnée peut amener l'Islam à accepter un compromis en
attendant le moment de reprendre le dessus.
Le fameux proverbe arabe le dit lui-même :
"baise la main que tu ne peux pas mordre, tout en souhaitant qu'elle se
casse"
La "conversion
par le sabre", la possibilité du recours à la
"guerre sainte" , à la
force pour répandre la foi, même s'il y a été le plus souvent fait appel
contre des hérétiques musulmans, est contraire au message de paix du
Christianisme.
Ce germe de révolte, entache gravement
l'idéal élevé de cette religion. Le résultat est d'ailleurs loin d'être
probant pour la valeur, l'unité de la foi musulmane elle-même : d'abord car
les populations étrangères pliées sous le joug des envahisseurs arabes
affectent de se convertir par opportunisme, passivité, crainte - donc
risquent de manquer de profondeur dans la vraie foi ; ensuite car le
recours à la "guerre sainte" risque de devenir une arme
politique dans les mains d'aventuriers, de candidats dictateurs parfois
désislamisés, ou d'impérialistes étrangers parvenant à convaincre les
musulmans de leur identité de vue avec eux. C'est d'ailleurs l'usage qu'a
fait de l'Islam la classe dirigeante du peuple arabe nomade d'Arabie aux
rudes instincts, au lieu de s'améliorer comme le voulait Mahomet.
A l'opposé de cette doctrine philosophique et
religieuse, le Christianisme appelle ses fidèles à mettre en pratique dans
leurs actes les principes élevés qu'il leur enseigne ; mais
il ne prêche pas la révolution contre des gouvernements non-chrétiens,
seulement il interdit d'obéir à un ordre contraire aux commandements de Dieu
(assassiner).
De barbarie en barbarie on a, par conséquent,
laissé aux arabes qu'une pseudo-religion sans dogmatique et sans morale, avec
quelques pratiques extérieures qui ne touchent pas la conscience. Par la
suite, les théologiens de l'Islam, qui ne sont au fond que des juristes et
des casuistes, ne sont jamais montés jusqu'à la notion de la loi morale,
expression de la volonté divine pour la conduite de la vie humaine sur terre.
Ils ont ainsi fait perdre à tous les sectateurs du "Prophète" le
sens du péché, de la faute morale. Il n'y a que des fautes légales qu'on
efface par une formule et, dans les plus grands crimes, par la profession de
foi. On a supprimé la conscience Jamais on n'a enseigné aux enfants, au nom
de Dieu, comme étant un commandement divin, nos devoirs envers lui. Jamais on
ne leur a dit, sous forme d'ordre divin : « Tu ne mentiras pas, etc... »
Voilà pourquoi nous voyions ici et là
commettre tous ces crimes chaque jour avec une férocité inouïe sans que
jamais ces âmes éprouvent une inquiétude. Les pires criminels ne perdent
même pas l'estime de leurs coreligionnaires.
L'Islam, comme les pharisiens, repousse les idoles, mais il a respecté le
paginisme avec ses hideurs morales et ses superstitions. Il a gardé
l'esclavage, ce qui, en dehors de son caractère odieux d'injure à la
dignité humaine, a entraîné le mépris du travail, surtout du travail de la
terre qui est le plus pénible, ce qui explique l'état désertique des terres
païennes, l'immense misère de tous ces pays, les famines qui les ravagent,
l'ignorance totale de tant de millions l'hommes. Païen encore le mépris de
la femme, déchue de sa dignité humaine et devenue pur instrument de plaisir
. Par la prédestination absolue, l'homme, privé de toute liberté, n'est
plus que le jouet d'un destin rigide. Tout est écrit : l'homme n'a plus qu'à
s'abandonner à l'immobilité et à l'inertie. Ainsi, sous l'empire de cette
croyance funeste, les musulmans sont devenus incapables de toute prévoyance,
de toute activité et de tout progrès, ils s'inclinent sous le fatalisme qui
les écrase.
S'ils sortent de leur léthargie, c'est lorsque
la voix du fanatisme les appelle à la guerre sainte et à l'extermination des
"infidèles".
En résumé, Mahomet, instruit de la religion
chrétienne à des sources non-orthodoxes, ou ayant mal assimilé la doctrine
chrétienne, a fait accepter au peuple de l'Arabie un message où il fait
preuve d'un "déviationnisme" religieux, par rapport au
Christianisme ! Et les exégètes musulmans ces siècles suivants nient la
Place prééminante de Jésus pourtant soulignée par le Coran et affirment
que Mahomet est "le plus grand des Prophètes", ce que le Coran ne
dit pas et ils ont de la sorte manqué à leurs devoirs à l'égard de Jésus
que Dieu a élevé jusqu'à lui, et ils l'ont rabaissé au rang des hommes
ordinaires.
La raison de ce manquement se trouve dans
l'attitude d'hostilité qu'ils ont adopté à l'égard du Christianisme et des
chrétiens, et dans leur détermination de les combattre.
Les musulmans se sont enfermés dans cette
position de lutte antichrétienne et, de ce fait, ils ont manqué
d'objectivité. Ils ont méconnu la personne de Jésus-Christ. Ils se sont
mépris sur le rôle exceptionnel qu'il assure dans les destinées
spirituelles de l'humanité. Ils l'ont rabaissé, en lui refusant la place
éminente et la première qui lui revient de par sa naissance surnaturelle,
selon le Coran lui-même, son enseignement sublime et divin, sa vie sainte et
pure, son élévation au Ciel et son intimité avec Dieu.(4)
Religion facile évidemment que l'Islam puisqu'elle n'impose à ses
adhérents aucune contrainte morale. Et soyons bien sûrs que cette facilité
lui vient de sa vaste et rapide diffusion avec l'attachement que lui gardent
les mahométans.
Mais comment peut-il se trouver des catholiques
instruits, des prêtres et des évêques qui en parlent comme d'une religion
respectable, qu'on met sur le même pied que le christianisme parce qu'elle
est monothéiste ? Quelle aberration et quelle sottise !
Et la plus belle des conclusions nous vient de
Chateaubriand :
"Il a fallu que le Christianisme vint
chasser ce peuple de fauves, de satyres et de nymphes, pour rendre aux grottes
leur silence et aux bois leur rêverie. "
(4) Habib Azerwal : "Rencontre avec
l'islam"
Commentaire de
DDD
Et alors maintenant, que fait-on
? On se procure des Babouches, Une Djellabah, un p'tit chapeau en dentelle
fait au crochet, un Tapis de prières, un Coran, une boussole ? On se tourne
vers la Mecque et on proclame :
"Allah O akbar ! ! Bismillah ! ! El-hamdoulillah
! !
Alrahman El-rahim la illaha illa lah ! !
Muhammad rassoula lah ! ! Sallallâhou alayhi wa sallam ! ! "
Ou alors il nous faut les butter jusque
dans les chiottes "BECIF"
?
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