1ère université d'été sur la 2ème religion de France

La première université d'été sur le sujet, lancée par la Direction de l'enseignement scolaire et l'inspection générale d'histoire-géographie, réunit depuis mercredi, à la Grande Arche de la Défense (Hauts-de-Seine), cent trente enseignants, chefs d'établissements et cadres éducatifs.

« On ne peut continuer à négliger - l'islam, deuxième religion de France, ni occulter la culture d'origine de tant d'élèves de nos écoles. Cependant, attention, il n'est pas question d'enseigner, dans notre système laïque et républicain, une religion ou une autre, la croyance est affaire privée -, mais de connaître et faire connaître un monde qui ont fait partie de notre culture, de notre patrimoine, de notre histoire », a déclaré. Dominique Borne , inspecteur général d'histoire, chargé de conclure les débats aujourd'hui.

« On ne peut pas plus éviter de parler de l'islam que du christianisme ou du judaïsme en histoire, en géographie, en sciences comme en littérature ou en histoire de l'art et cela, en toute laïcité », a-t-il ajouté, précisant que le mot islam est « polysémique », recouvrant à la fois «fait de civilisation et fait religieux ».

Rappelant l'intitulé, de la rencontre, « Europe et islam, islams d'Europe », M. Borne a souligné :
« Il n'y a pas ici et ailleurs, nous et les autres. L'islam est partie intégrante de l’Europe et il est également pluriel. C'est essentiel de le savoir et le faire comprendre à nos élèves, ne serait-ce que pour éviter les simplifications communautarisme », a-t-il ajouté.

« Cette pluralité, cette absence de monolithisme est pour moi la plus grande découverte de cette réunion, avec le rappel bien nécessaire de tous les apports du monde musulman à notre culture », a affirmé de son côté une participante, professeur d'histoire dans un collège proche de Grenoble, Marie-France Bacuvier.

Venue pour apprendre et transmettre ce qu'elle a appris dans son académie, elle souligne
« combien une meilleure connaissance de l'islam. permet aussi de mieux, connaître ses éléves, de les aider à mieux se connaître eux-mêmes et de mieux les armer contre des tentations d'intolérance ».

« Quand on aura compris et fait comprendre que Ben Laden est un phénomène géopolitique et non un phénomène musulman, on aura tous fait un grand bon en avant », a d'ailleurs lancé un autre participant, lui-même d'origine algérienne.

L'université d'été a été inaugurée mercredi par le ministre délégué à l'Enseignement scolaire, Xavier Darcos , qui a rappelé
« l'apport du monde musulman dans le patrimoine européen » et affirmé « l'importance de faire comprendre aux jeunes d'origine musulmane que l'adhésion aux valeurs de la République, l'intégration dans la société française ne signifient en aucune manière la perte de ce qu'ils considèrent comme être leur identité »

Le ministre a rappelé l'apport du monde musulman dans le patrimoine européen (scientifique, architectural, culturel) et affirmé l'importance de « faire connaître et comprendre aux enfants qu'on se construit par des apports successifs venus de l'extérieur ».

Commentaire de SIVÉRA

Ah ces "braves gens" de l'Education Nationale, ils veulent s'occuper de nos "Chères Têtes Blondes" ! Après s'être occupés des "Corps", ils vont s'occuper de 'l'Esprit" ! Plus "Porteurs de valises" qu'eux, tu meurs ! Et vous croyez avoir élu un gouvernement à Droite ? Non, c'est en ligne directe avec Moscou ! Vous serez tous au Coran ! Danielle Djamila AMRANE-MINNE, BOUDAREL and Co ont fortement procréé au sein de LEUR Education Nationale, ils y ont faits des Emules" !  (Avec notre Flouz, tout de même) comme l'écrit si bien Maurice DRUON de l'Académie Française, dans son livre 

"LA FRANCE AUX ORDRES D'UN CADAVRE" Celui du Parti Communiste !