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De Gaulle
 
 

PLAINTE
CONTRE L'
ÉTAT FRANCAIS
Par G.Ibanes

 

Monsieur le Doyen des Juges d’Instruction
du Tribunal de Grande Instance de Paris

4, Boulevard du Palais
75055 PARIS R.P.

&

A Monsieur le Président de la Cour Suprême  
Palais de Justice de Première Instance de Bruxelles
Place Poelaert 1
1000 Bruxelles

Monsieur le Doyen et Monsieur le Président,

Nous soussigné : Gilbert IBANES
Né le 10 mars 1933
Français
Lieu de résidence: AUSTRALIE

Adresse : P.O. box 6128, GCMC Bundall QLD 4217 – Australia 
adresse : email :
webmaster@algerie-francaise.org


Avant de développer ma plainte permettez moi d’abord de vous faire lire cette
« lettre à mes amis Français de France » de Guy Bezzina. Elle vous aidera à mieux comprendre notre drame.

-
Lettre à mes amis français de France - par Guy Bezzina

Nouveaux élément Juillet-Août 2004


-Exposé de Joseph Hattab Pacha pour Véritas
-Tout doit être fait sur-le-champ pour briser et châtier ...C.De Gaulle

A partir de Mai 1957, je suis au service de la France en tant que gendarme.

En tant que tel, je suis témoin dès le début de la rébellion, des atrocités commises par des bandes d’assassins qui sèment en toute impunité la terreur parmi la population qu’elle soit musulmane ou européenne.

-Document-Principal 17 – Correspondance Nouvion-Jospin a/s Tortures en Algérie
-Document 69 – La trahison du Parti Communiste Français
-Document 70 – Minute du 23 janvier 2002 – Les communistes persistent et signent
 

Eléments nouveaux

-Ce que je n’ai pas dit sur la trahison des communistes Français - Jouhaud
-
Paroles de Debré - le Crapouillot
-
Les porteurs de valises - Monseigneur Duval et les curés - Par Pierre Sergent
-
Agents de liaison entre le FLN et le PCA Par P.Sergent
-
Tueurs et porteurs de valises
-
Les collabos du FLN
-
Le tract lancé en Algérie par les communistes Français
-Récompense d’avoir trahi la patrie
-
Terrorisme FLN en France par Guy CHAMBARLAC
-
Emission de J-L DELARUE  Le pouvoir de dire non
-
Réponse au témoignage de G Bechler Par J TORRES

-Cessez-le-feu unilatéral du 19 mars 1962 – Par Alexis Bouchard
-Le complot - COMPTE RENDU N° 27- Propositions - par G.Ibanes

Eléments nouveaux
août 2004

-
Ils ont osé le dire: Staline-Mao-Marx étaient des grands hommes

Mon travail consistait à constater toutes les infractions commises dans la circonscription en particulier les crimes perpétrés par les bandes citées plus haut et à en dresser procès-verbaux qui étaient transmis au Procureur de la République.

Ici quelques photos seulement représentant une toute petite part de ce qui s’est en réalité passé dans cette période.

-Document non-classifié 1 – Planche photos 1
-Document non-classifié 2 – Planche photos 2

-
Document non-classifié 3 – Planche photos 3
-Document non-classifié 4 – Planche photos 4
-Document non-classifié 5 – Planche photos 5

Je participais au  maintien de l’ordre avec l’armée, je constatais lors des accrochages, l’identité des criminels abattus et en rendais compte au Parquet et à ma hiérarchie. Tout était fait conformément aux lois qui nous régissaient à cette époque.

La plupart des constatations pour crimes se faisaient contre X…Les criminels n’étaient jamais poursuivis ou retrouvés en raison du manque d’effectif.

Le Parquet , la gendarmerie et la Police se trouvaient en face de cas relevant plus d’un État de guerre avec des lois applicables en temps de paix. 

Les prisons débordant de suspects et la Justice du moment agissant conformément aux Codes Pénal et d’instruction Criminelle devait les relâcher fautes de preuve. une fois libérés ils regagnaient les bandes qui sévissaient dans la région.

Tout ceci pour vous dire votre honneur que nous faisions notre travail honnêtement et légalement.

Je croyais exercer mon métier pour défendre la Patrie en danger.

Nombreux sont nos camarades, des jeunes du contingent et des militaires de carrière, mais également des civils, femmes, enfants, hommes et vieillards qui, tombés entre les mains de ces bandes, furent tués dans d’atroces souffrances.

Ces bandes prirent par la suite l’appellation d’ALN, Armée de Libération Nationale dépendant du FLN Front de Libération Nationale qui donnait les ordres depuis l’étranger, Tunisie ou Maroc ;  

Les plus hautes instances de l’État nous faisaient croire que nous nous battions pour défendre une partie du Territoire NATIONAL menacé, alors que tout ceci était totalement faux puisqu’elles traitaient en secret avec l’ennemi.

-Document-Principal 3 – Dossier secret des Accords d’Evian par G.de Ternant
-Document-Principal   3bis  – Interview Ben Bella – Le chiffon d’Evian – 1963-Paris Match

-Document-Principal – 7bis – Signatures des Accords d’Evian – 4 signatures
-Document-Principal 16 – Preuves de culpabilité de De Gaulle – Affaire Sakiet-Sidi-Youcef.
-Document   68 – Commentaire sur  De Gaulle par Jacques Soustelle. 

 Prise du pouvoir par le Général De Gaulle après mai 1958.

-Document  1 – Au jour le jour notre drame par Francine DESSAIGNE

Afin de mieux vous faire comprendre l’objet de ma plainte, je me permets de porter à votre connaissance le résultat de l’enquête de Moralité et Personnalité effectuée par moi-même sur le principal responsable du drame de cette période.

Moralité et Personnalité recueillies parmi les nombreux ouvrages, témoignages et documents officiels, publiés par des Généraux, Colonels, Officiers, politiques et simples citoyens dont la moralité ne saurait en aucun cas être mise en doute.

Je vous prie votre honneur de vous référer aux documents joints :

Moralité – Personnalité de Charles De Gaulle – avant 1958 –

 - Document-11  http://www.de-gaulle.info/39-45.shtml

Documents recueillis août 2006

Rougier: Le Bilan Du Gaullisme 

Muselier :De Gaulle contre le gaullisme 

P. Brossolette, le visionnaire de la Résistance"

Moralité – Personnalité de Charles De Gaulle –  1958 et après

-Document-Principal  5 - Journal d’une Mère de Famille de Francine DESSAIGNE  
-Document-Principal  7 - Feux et Lumière sur ma trace du Colonel Château-Jobert
-Document-Principal  8 - Témoignage de A. Belvisi  
-Document-Principal  9 - C’était De Gaulle par A.Peyrefitte
-Document-Principal 11- Témoignage de P.A. Barisain
-Document-Principal 12-Témoignage de A. Belvisi
-Document-Principal 13-C’était De Gaulle par A.Peyrefitte
-Document-Principal 14-Un rappel des déclarations de De Gaulle par A.Martinez
-Document-Principal 15-Avis de J.F.RAVEL sur la Trahison des gaullistes
-Document-Principal 16-Preuves de la culpabilité de De Gaulle par J.Joly.
-Document-Principal 23-Les révélations de Thyraud de Vosjoli agent du SDECE
-Document-Principal 24-Thyraud de Vosjoli dénonce le meurtre de Enrico Mattei

-Document-Principal 25-Le comportement de De Gaulle dans l’affaire Si Salah par le Général Challe.
-Document-  4 – Témoignage de Marie-Paule TARDY  
-Document-  8 – Salan note De Gaulle  
-Document-  9 – Personnalité et Moralité de De Gaulle par le Général CHALLE
-Document-10 – Lettre de De Gaulle au Général CHALLE
-Document-11 – Enquête de Moralité Par le Colonel ARGOUD - Partie 1 – 39/45
-Document-12 – Enquête de Moralité Partie 2 - ARGOUD.  
-Document-13 – Enquête de Moralité par le Bachaga BOUALAM.     
-Document-14 – Enquête de Moralité par D. LECONTE.
-Document-15 – Déclaration XI de BASTIEN-THIRY
-Document-16 – Dossier DARLAN – GIRAUD 
 
-Document-17 – Affaire DENTZ - Flagrant délit de mensonge
-Document-18 – Violation de la Constitution par PA. BARISAIN
-Document-19 – Preuve de la culpabilité de De Gaulle par G.de TERNANT

-Document-20 – De Gaulle Despote-machiavélique par A.BELVISI  
-Document-21 – Témoignage de A.BELVISI
-Document-68 – Commentaire sur De Gaulle par J. SOUSTELLE

Eléments nouveaux

-Sakiet Sidi Youssef – Par le général Jouhaud
-Attentat au bazooka contre Salan
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Le temps des complots - Le Crapouillot  - Par ...J.B.
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Les complots gaullistes de mai 58 - Partie 1- Par le Général Jouhaud
-
Moralité de l’idole des français – Par le Général Jouhaud
-
Le zénith illusoire de l’Algérie Française - par François-Xavier de Vivie
-
Les équipes médico-sociales itinérantes EMSI - Ginette TREVENON-COPIN
-
Lettre au Préfet d'Oran en date du 23/02/1962 - Par le Général JOUHAUD
-
"les 4 vérités" de GUY MILLIÈRE
-Une espérance cachée - par Yannick BOURDOISEAU
-
LA PARTITION Par Xavier DE REGIS
-
La mystérieuse République d’Algérie – Partie 1 & 2 - Par le Général Jouhaud
-
Les Héros Français de la Légion Étrangère – Par Pierre Sergent – Partie 1
-
Les Héros Français de la Légion Étrangère – Par Pierre Sergent – Partie 2
-
Association familles et enfants de disparus - Interview H de Blignière

 Affaire Si Salah

M. C. De Gaulle commet l’une des plus hautes trahisons que pourrait commettre un chef d’Etat de toute l’Histoire Française du siècle vis à vis de la France, de la République et du peuple Français.

Apres l’appel à la ‘’Paix des braves’’, il a la possibilité d’écourter la guerre en 1960  avec la capitulation des willaya 3 et 4. Il refuse LA REDDITION  de Si Salah, Mohamed et Lakhdar, préfère traiter avec les assassins qui refusent de laisser ‘’les couteaux au vestiaire’’ et la guerre se poursuit avec le nombre considérable de morts dans les rangs des fellaghas mais aussi de l’armée française et de la population qui en subira les conséquences. 

A ce sujet et à titre de preuves irréfutables, des documents prouvant ce que j’ai l’honneur de vous avancer sont joints à ma plainte.

-Document-Principal – 25  Toute l’affaire de la trahison d’un Chef d’Etat - par le Général Challe

Eléments nouveaux

-L’affaire Si Salah vue par le Général Jouhaud
-Victoire secrètes des Services Spéciaux - par Erwan BERGOT

Eléments nouveaux-mars 2005
-Chiffres enregistrés à partir des renseignements des trois Corps d'Armées:
Alger, Constantine et Oran;  archivées au Service Historique des Armées.


-
http://www.algerie-francaise.org/documents/effectif-fln.shtml

Des témoins figurant sur la liste jointe confirment et confirmeront mes dires s’ils sont appelés à la barre..

J’étais marié, et j’avais deux enfants.

Nous avons subi un traumatisme à vie.

Nous étions attaqués tous les soirs. La Gendarmerie nous avait logé dans l’ancienne écurie  aménagée rapidement en un minuscule réduit d’une pièce-cuisine, pour accueillir un gendarme marié. Ce fut moi le gendarme. Il n’y avait pas de volet à la seule fenêtre qui donnait à l’extérieur dans un espace obscur, propice à un terroriste pour nous balancer une grenade ou quelques rafales d’arme automatique en passant, ceci à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit.

Ce fut moi-même qui, par mes propres moyens, dû installer les volets tenus provisoirement par deux madriers depuis l’extérieur pouvant être basculés facilement d’un coup de pied.

Nous avons vécu de la sorte plusieurs mois sans que rien ne soit fait pour  notre sécurité. Le reste du personnel, des métropolitains logeaient en toute sécurité dans la brigade dont les deux portes d’entrée étaient revêtues de plaques de blindage de 8 m/m d’épaisseur.

Nous aurions pu être égorgés cent fois sans qu’ils s’en aperçoivent.

Par comble de malchance on ne trouva pas mieux d’entasser dans le local mitoyen une vingtaine de suspects arrêtés lors d’opérations de maintien de l’ordre dans la région. Une mince feuille de contre-plaqué nous séparait d’eux.

Notre traumatisme allait s’amplifiant de jour en jour, de mois en mois d’année en année.

J’ai eu à constater durant mon séjour dans cette région des assassinats dont l’horreur dépassait l’imagination. Le dernier en date fut l’égorgement du jeune Gil , âgé de 14/15 ans, par son frère de lait, petit arabe élevé par la famille depuis qu’il était bébé, abandonné par ses parents. Il avait appris par des « on dit » que, pour rejoindre les bandes rebelles, il fallait égorger un « roumi » c’est à dire quelqu’un qui n’est pas musulman. Ce matin après avoir pris son petit déjeuner, il s’empara d’un grand coutelas dans la cuisine et le cacha sous ses vêtements avec l’intention de s’en servir à la première occasion.

Le père, Monsieur Gil, envoya les deux enfants défricher une petite parcelle située derrière la petite ferme et non loin de la Brigade. Ce qui devait arriver arriva. Profitant que l’autre avait le dos tourné, il sortit son coutelas et d’une oreille à l’autre, il lui ouvrit la gorge. Son demi-frère s’écroula mortellement blessé. L’assassin prit la fuite en direction de la rivière située de l’autre coté de la voie ferrée à 500m de la parcelle où s’était déroulé le drame.

Des cris parvinrent jusqu'à nous. Intrigué, je me dirigeais en direction de leurs provenance.

J’ai eu beau courir, j’arrivais trop tard pour empêcher la mère qui descendait de la ferme, elle aussi attiré par les cris, d’arriver une minute avant moi et de prendre le corps sur ses genoux essayant de lui tenir la tête qui balançait accrochée au cou  par une mince peau.

Elle pleurait toutes les larmes de son corps et criait à vous faire fondre le cœur.

Je m’en voulais d’être arrivé trop tard. La suite ne fut qu’un constat de routine et le déclenchement d’une opération militaire-gendarmerie pour tenter de retrouver le coupable qui avait disparu entre les lauriers-roses qui longeaient la rivière sur des kilomètres dans les deux sens.

Les barbouzes

La deuxième partie fut encore pire.

Les constats se multiplièrent en même temps que la politique du gouvernement changée. Notre travail pourtant restait toujours le même à savoir nous défendions des départements français. La loi était bafouée à tous les échelons depuis le début de ce que l’on appellera par la suite « La guerre d’Algérie ».

-Document-Principal - 14 – Un rappel des déclarations de De Gaulle par A.Martinez

J’assistai impuissant à l’installation de milices illégalement constituées par le Gouvernement qui était supposé respecter la Constitution. Des collègues volontaires furent intégrés dans ces milices, un local mis à leur disposition pour les tortures telles que vous pouvez le lire dans les documents joints et confirmés par les témoins cités dans la liste jointe.

-Document 62 – Dossier B comme BARBOUZES  de P.CHAIROFF
-
Document 63 – Les barbouzes par A.MARTINEZ  
-Document 63bis – Témoignage de Sauveur COSTAGLIOLA Torturé aux Tagarins à Alger
 
-Document 63ter DEBROSSE- Patron des tortionnaires aux Tagarins à Alger - Par JJ-Susini
-Document 64 – Accusation de Ali BOUREQUAT   
-Document 65 – Article relevé sur Minute 316 du 18 avril 1968
-Document 66 – Interrogatoire de LEMARCHAND – Procès du SAC 

Le summum de cette histoire arriva avec justement l’arrivée du capitaine Capron désigné à la tête de la Compagnie avec des ordres bien précis : faire appliquer à la lettre les ordres de C.De Gaulle. A partir de ce moment une suspicion s’installa parmi nous. Un va et vient incessant se manifesta avec le Commandant de brigade, l’adjudant Baron, un ivrogne, et le chef Fleury responsable de l’équipe que tout le monde appelait désormais « Les barbouzes ». Sans y avoir assisté, nous savions que des tortures s’effectuaient quelque part dans une villa mais le secret du lieu était bien gardé. Seules les archives peuvent éclairer la justice à ce sujet mais tout a été fait pour que celles-ci ne puissent être consultées avant soixante ans, c’est à dire lorsque tous les témoins ne seront  plus de ce monde.

Je fus catalogué comme un traître à C. De Gaulle, d’abord parce que j’étais pied-noir et secundo, parce que je n’ai jamais voulu m’associer à l’action des barbouzes que je combattais légalement en dénonçant leur activité à des gradés qui malheureusement subissaient comme moi la menace d’une mutation dieu sait où voir même d’être descendus à notre tour..

-Document-Principal – 23 Extraits livre Lamia de Thyraud de Vosjoli agent SDECE
-Document – 62 Dossier B comme BARBOUZES de P. Chairoff

-Document - 63 Les barbouzes par Antoine Martinez  
-Document - 64  Accusations de Ali-Bourequat relevées par Réseau Voltaire 24/06/99   
-Document - 66  Interrogatoire Lemarchand par une Commission - Procès du SAC.

L’adjudant Baron était complètement à leurs ordres et s’acquittait d’une façon honteuse pour la Gendarmerie en particulier dans la recherche du renseignement qu’il nous imposait et sa complicité dans les actes criminels de cette bande d’assassins.

Avec le reste des gendarmes fidèles à la traditionnelle mission qui nous incombait, nous avons contribué à sauver pas mal de personnes qui, ignorant la présence parmi eux d’agents à la solde des barbouzes dans les débits de boissons, se laissaient  piéger après avoir ingurgité quelques anisettes à raconter des histoires dont la plupart s’avéraient fausses. Des noms étant lâchés, nombreuses furent les victimes torturées pour des faits inexistants.

Des quartiers entiers furent encerclés, les habitants, femmes, enfants, hommes et vieillards furent traités avec une sauvagerie sans égale pendant les perquisitions sans mandat de perquisition. Je suis un témoin encore vivant car j’habitais avec ma famille dans un de ces quartiers et je vous prie de croire qu’il n’a pas été facile de supporter la façon dont nous avions été traités par la Gendarmerie mobile dite la rouge et les jeunes du contingent choisis pour ces opérations pour leurs sentiments pro-communistes. 

-Document 69 – La trahison du Parti Communiste Français
-Document 70 – Minute du 23 janvier 2002 – Les communistes persistent et signent 

Le capitaine Capron en contact avec les terroristes du FLN de la région se permit de leur donner toutes les armes saisies aux européens et celles saisies au cours d’opérations de maintien de l’ordre avant son affectation.

Dès lors la population européenne se sentant nue face aux bouchers du FLN et aux barbouzes s’empressa de regagner l’aéroport de la Sénia et le port d’Oran dans l’espoir de rejoindre la métropole pour sauver leur vie.

Dans le lot se trouvait mon épouse et mes deux enfants âgés de 4 et 3 ans

Quelques jours avant je faisais un dernier au-revoir à mes parents et petit-frère qui, comme des voleurs, quittaient la maison avec quelques affaires.

Mon père, malade, dut attendre deux nuits et trois jours sous la pluie que C. De Gaulle veuille bien envoyer des avions et bateaux pour porter secours à cette population désespérée, massacrée d’un côté par les fellaghas et de l’autre par les barbouzes du gouvernement lâchés comme des loups sur un troupeau de brebis égarées et sans défense.

Se reporter aux documents joints et aux témoignages des victimes.

-Document - 62 Dossier B comme BARBOUZES de P. Chairoff
-Document - 63 Les barbouzes par Antoine Martinez  
-Document - 64 Accusations de Ali-Bourequat relevées par Réseau Voltaire 24/06/99   
-Document - 66 Interrogatoire Lemarchand par une Commission – Procès du SAC.

Eléments nouveaux

-Paul et Angèle 20 ans - torturés à mort par les barbouzes
-
Marie-Christine egorgee comme un mouton-Camille Gilles
-
Ces tueurs qui  n'existaient pas - par J-P. Chappui du Crapouillot
-Les barbouzes aujourd'hui en 2002
-Témoignages de satisfaction au Barbouzes
-Collusion - De Gaulle FLN

Viennent ensuite le 18 mars 1962 la signature des fameux accords bidons d’Evian. Je laisse à votre Honneur le soin de prendre connaissance des documents plus que révélateurs sur les conditions dans lesquelles ils furent conclus.

-Document-Principal   1 – LES ACCORDS D’EVIAN

-Document-Principal   2 – Les accords d’Evian par Jean-Paul Angelelli

-Document-Principal   3 – Dossier secret des Accords d’Evian par G.de Ternant

-Document-Principal   3bis  – Interview Ben Bella – Le chiffon d’Evian – 1963-Paris Match
-Document-Principal   4 – Evian : Capitulation sans défaite par P.Gauchon du Crapouillot
-Document-Principal   4bis – Réflexion sur les accords d’Evian par le Général Jouhaud

Eléments nouveaux

-Ce que je n’ai pas dit sur les fameux accords d’Evian
-Pour avoir cru en la parole de la France
-Evian par Chateau-Jobert 
-Jouhaud s'exprimait en 1968 sur les Accords d'Evian
-Evian par Camille Gilles (extrait)
-Secrets d'Etat Par Raymond TOURNOUX

 Puis le 26 mars 1962 « le Massacre d’Alger »

-Document - 5 Témoignage de JP Ferrer – Massacre du 26 mars 1962  
-Document – 6bis  Liste des victimes du Massacre du 26 mars 1962  
-Document - 7 Ailleret – Fusillade rue d’Isly le 26 mars 1962  
-Document - 7 bis Planche photos

Eléments nouveaux

-Témoignage sur la fusillade de la rue d’Isly
-Feu sans sommation rue d’Isly à Alger - Lettre ouverte-F.Mesquida
-Lettre à Ministre Education Nationale - par M-J REY
-Opinion du Secrétaire d’Etat aux Anciens Combattants  -massacre rue d’Isly
-Réponse M.Mekachera à Mme Ferrandis-Delvarre
-Réaction de Mme Nicole Ferrandis-Delvarre
-Secrétaire d’Etat aux Anciens Combattants - Réaction de Georges Clément
-Massacre rue d’Isly analysé Par le Général Jouhaud
-Emission RTL – réaction d’Olivier Cazeaux

 Le Massacre d’Oran

-Document-Principal -   6 Lettre officielle Etat-Major d’Oran sur le Massacre d’Oran
-Document-Principal – 18 Témoignage de Jean-Henry Fourcade  
-Document-Principal – 19 Témoignage du Docteur Guy SOLA,
-Document-Principal – 20 Témoignage A. RASTOLL-Colaboration Gendarmes Mobiles-FLN
-Document-Principal – 21 Massacre reconnu au J.O de la République Française.
-Document-Principal – 22 Témoignage ESTEVE-CASTILLA
-Document-Principal – 37 Témoignage de Gérard GILBERT
-Document 2 – Témoignage J.SANCHEZ victime de l’attitude de Katz
-Document 3 – Témoignage Pascal COLIN  
-Document 19 Preuves de la responsabilité de De Gaulle par G.de Ternant
-Document 22 Spécial dernier article de L.Roy
-Document 23 Archives des disparus ASFED de Bordeaux ANNEXE IV Agonie d’Oran
-Document 24 Lettre de Simon à G de Ternant a/s dommages par les mitraillages
-Document 25 Certificat d’expertise produit par Simon Pierre
-Document 26 Planche photos 1 dommage aux façades dus aux mitraillages
-Document 27 Planche photos 2 dommages aux appartements
-Document 28 Planche photos 3 autres dommages dus aux mitraillages
-Document 30 Oraison à l’Église du Vœu à Nice  le 5 juillet 1962 par G. de TERNANT
-Document 31 Photo 1 – Européens prisonniers du FLN.
-Document 32 Photo 2 – Oran : on égorge dans la rue.
-Document 35 Témoignage de Paul Chambreau
-Document 36 Témoignage de Robert ARNOUX – Journal Le Méridiens.
-Document 37 PROCÈS-VERBAL DE LA GENDARMERIE D’ORAN de mai 1962

-Document 38 ANNEXE I – LISTE DES DISPARITIONS du COMITÉ DE RECONCILIATION
-Document 39 ANNEXE II – LISTE DES VICTIMES DU 5 JUILLET 1962
-Document 40 LISTE DES MORTS ET DISPARUS AVANT ET APRES LE 5 JUILLET 1962
-Document 41 MORTS ET DISPARUS LE 5 JUILLET 1962  
-Document 42 Témoignage de G. de TERNANT cas de Langiano et Falcon
-Document 43 Témoignage G. JAUME
-Document 44 Témoignage de Paul OLIVA
-Document 45 Témoignage Jean BARTHE
-Document 46 Témoignage René GEHRIG
-Document 47 Témoignage Valérien NAVARRO
-Document 48 Témoignage André LERME
-Document 49 Témoignage Lucette ANDREANI
-Document 50 Témoignage Joseph MATEO
-Document 54 Témoignage de Robert VALE
-Document 55 Témoignage de G. VINCENT
-Document 56 Témoignage de Marcel VERHILL
-Document 57 Témoignage de Mme FERNANDEZ
-Document 58 Témoignage de Mme SANCHEZ
-Document 59 Témoignage de Mme BENHAMOU
-Document 60 Témoignage d’André GARCIA
-Document 61 Témoignage de J.M. AVILA
-Temoignage Rastoll-policier a Saida-Sud-oranie
 

Eléments nouveaux - juillet 2004

-Emission France Culture 25 juin 1994

Pendant avant et après

Eléments nouveaux

-
Mitraillage d'Oran par les T6 de la base de Tiaret - Mission préventive
-Ce jour la 1er juillet 1962 - Editions Robert LAFFONT

Nous assistons - et j’en suis encore un témoin vivant  pour m’être trouvé le 5 juillet 1962 à la Caserne de Gendarmerie de la Légion, Square Garbet à Oran - impuissant derrière les fenêtres à regarder les arabes armés jusqu’aux dents, donner la chasse aux européens sans que l’on nous laisse intervenir pour porter secours. Quelques européens réussirent à se mettre sous notre protection à l’intérieur du bâtiment…Le Colonel Perolaz était présent mais ayant reçu des ordres très stricts du général Katz il dut s’incliner, mais ne tenta à aucun moment de mettre son nez dehors, promotion oblige.

L’adjudant-chef Andrès me retira mon arme pour m’empêcher de commettre un acte irréparable.  A partir de ce moment  je me suis rendu à l’évidence, nous avions perdu l’Algérie mais la perdre de cette façon horrible et honteuse, jamais je ne pourrai l’oublier et j’en fut choqué à vie.

-Document- 61bis – Témoignage de Jean Boisard – Témoin oculaire.

Après ?  Ce fut encore pire !

Les responsables choisis par C. De Gaulle pour représenter la France dans la nouvelle Algérie continuèrent à fausser l’information. Les témoignages et les documents démontrent totalement le contraire de ce qu’affirmaient ces diplomates.

-Document- 51 – Le cas de Mme VALADIER témoignage de G. de TERNANT.
-Document- 29 – Journée tragique en Algérie – Témoignage de G. de TERNANT.
-Document- 67 – Un jeune militaire aux travaux Forcés dans les mines – Témoignage de G. de TERNANT.
-Document- 52 – Le cas CERVENTES par G.de TERNANT  
-Document- 53 – Le cas de Marinette B, par G. de TERNANT.

Eléments nouveaux

-
Katz responsable du massacre d'Oran
-Extrait compte-rendu Croix-Rouge et Corps Médical d’Oranie – 30 mars 1962

PROPAGANDE MENSONGÈRE ET DIFFAMATOIRE
Encore en 2004 - Preuves à l’appui

LA PROPAGANDE CONTRE LES FRANÇAIS D’ALGÉRIE ET LES PIED-NOIRS  ENTREPRISE  PAR LES  GAULLISTES DEPUIS 1960 NOUS POURSUIT ENCORE DE NOS JOURS.

C’est pourquoi il est utile et primordiale que je demande à votre honneur de prendre connaissance de ces deux affaires de diffamation récentes. Nous sommes certain qu’elles vous permettront de vous faire une meilleure opinion et de mieux comprendre  et juger en votre âme et conscience si oui ou non après plus de quarante ans nous sommes en droit que justice nous soit enfin rendu.

Nouveaux éléments – juillet 2004
-Le journal " le monde " condamné - Partie 1
-« Mon père ce harki » de Dalila Kerchouche – Partie 2

Aussi pour que la Justice française ou internationale, les historiens impartiaux, et les nouvelles générations plus tard puissent, nantis de ses éléments, déterminer  la responsabilité du général De Gaulle de Mai 1958, durant la période sanglante qui s’en est suivie et jusqu’à la fin de son dernier mandat de président de la république.

Votre honneur pourra consulter tous les documents joints prouvant la véracité de mes dires et trouvera jointe la liste des témoins désirant apporter plus de détails si vous le souhaitez.

Je ne pourrai ici vous rapporter les dizaines de cas dont je fus le témoin mais vous trouverez, joints à ma plainte, des témoignages les uns aussi insoutenables que les autres ainsi que quelques rares photos de notre drame pour la période ayant suivi le changement brutal de la politique du Gouvernement français.

Je fus et je reste, comme tous mes compatriotes, marqué à vie. Encore aujourd’hui je souffre de ces souvenirs qui hantent mes nuits et ma vie depuis plus de quarante ans.

Je ne puis admettre qu’un Gouvernement français se soit permis de laisser massacrer une population sans intervenir alors qu’il disposait d’une armée de 500.000 hommes qui ont assisté l’arme au pied aux égorgements, enlèvements, tortures, de milliers d’être humains désarmés. 

Partie 2
 


 
- Comite Veritas
- Alger 26 Mars 1962
- Ravin Rouge - Le Film
- le site des Bônois
- Pied-Noirs Aujourd'hui
- Association-Mostaganem
- Armand-Belvisi
- Bivouac-Legion.com
- Jean-Paul Gavino
- Le site du Clos-Salembier
- Mauvaise Graine
- Les Souffrances Secrètes
- Tenes Algerie
- Annuaire web africain
- http://mascara.p-rubira.com
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